Dix faits surprenants et amusants sur la mer et les océans

Je suis rédacteur concepteur

 Je suis rédacteur concepteur



Qu’est-ce donc que ce métier ?


Rédacteur concepteur, appelé Copywriter en anglais, consiste à rédiger ou aider à rédiger des messages. Dans mon cas, il s’agit de courriers électroniques, d’e-mails comme de messages de blogs.


Le principe est de se mettre d’accord avec le donneur d’ordres sur le contenu (le sujet), la longueur et l’objectif du message.


Puis je me mets en quête d’informations sur le sujet sélectionné, essayant de comprendre pourquoi un consommateur achèterait, ou pas, le produit. Ou ce qui déclenche son intérêt ou non pour le service proposé.


Copywriter, c’est un métier à la croisée des chemins entre le marketing, le webmaster et l’écrivain public. C’est la possibilité donnée de créer un contenu qui sera aussi captivant et motivant que possible pour que son destinataire “passe à l’action”.





Cela ne veut pas dire, contrairement à ce qui se pense souvent, “vendre du vent”. Au contraire même, à la différence des publicités classiques “volatiles” (à la radio comme à la télévision) un e-mail demeure et peut être lu et relu par son destinataire, transféré à une autre personne, questionné sur sa forme comme sur son fond.


D’où l’importance de faire appel à un spécialiste qui saura mettre les bons mots sur les questions qui se posent. 


Par exemple il s’agit de proposer un produit d’assurance, il faut citer le mot assurance. Peu importe s’il est ou non, comme sur d’autres médias, entouré des mots “protection”, “famille”, “maladie”, “sécurité” ou d’autres, c’est bel et bien d’assurance qu’on parle. Il incombe donc au rédacteur concepteur de s’informer sur l’offre de son client, sur celle des concurrents de son client et, surtout, de valider qu’il a compris cette offre pour en faire une restitution écrite complète et attractive !


Envie de me contacter pour en savoir plus ? 

A qui s’adresse-t-il ? 


Toutes les structures (entreprises, associations, fédérations…) qui ont besoin de communiquer par écrit et d’amener le lecteur à réaliser une certaine action (adhérer, donner, acheter un produit, souscrire un service…) font appel à mes services.


Si la discrétion professionnelle m’interdit de dévoiler les noms de mes clients, je peux vous dire qu’ils sont dans des domaines d’activité bien différents les uns des autres, depuis les “jouets pour adultes” jusqu’aux cabinets d’assurance.


C’est donc tout un panel de personnes, d’offres et de produits que je couvre et avec lequel j’entretiens toujours des relations cordiales et amicales. Car c’est dans les informations que je récolte au cours d’une discussion anodine que se trouvent les clés dont j’ai besoin pour parler plus correctement du produit sous tous ses angles.


Par exemple, le fabricant d’un jouet pour les écoles Montessori ne me dira pas d’emblée qu’il est conçu, et fabriqué en France, dans un ESAT. Cela viendra au cours de la discussion, peut être après 2 ou 3 appels téléphoniques.





C’est une relation de confiance et d’assurance qui se met sur pied entre nous qui me permet de conserver ces clients aussi longtemps que possible.


Il peut aussi s’agir d’une entreprise ou d’une association qui a une liste d’adresse e-mail importante de prospects et qui ne sait pas qu’en faire. Dans ce cas, la démarche est différente, il faut “réveiller” cette liste. Le message sera donc plus percutant et devrait aller à l’essentiel rapidement mais avec douceur, pour que les lecteurs ne se sentent aucunement agressés ou violentés par le courrier qu’ils reçoivent. Il s’agit de leur rappeler qu’ils sont ou ont été intéressés par tel ou tel produit ou service et qu’il est toujours sur le marché, qu’un nouveau modèle est sorti ou encore qu’il a été remplacé par une alternative.


Dernier cas d’école, la liste endormie. Il s’agit d’une structure qui a, pendant un temps, envoyé de nombreux mails à sa liste. Ces mails étaient souvent le fruit du travail de stagiaires d’ailleurs.


Puis;, le stage s’achevant, personne n’a pris le temps de faire perdurer ces envois. La liste s’est donc endormie et il faut faire preuve de pédagogie et d’humilité pour, parfois plusieurs années après le dernier envoi, se rappeler au bon souvenir des membres de cette liste.


Ce sont toutes ces structures qui font appel à moi, pour un mail unique comme pour 2 mails par semaine, selon leur stratégie et leurs envies. 


Et avec mon concours et mon expérience.


Il s'adresse sans doute à vous aussi !

Quel rapport avec le journalisme ? 


Un journaliste travaille d’une manière simple, en amont du travail de rédaction. Prendre une information, en vérifier la véracité, tant en termes de sources que de l’histoire. Il prend des avis positifs comme négatifs face à une information.


Lorsqu’il a obtenu toutes ces informations, le journaliste situe le contexte de l’information présentée, ses acteurs et ses opposants. Puis il déroule le fil de l’information en elle-même, décrivant, avec les informations dont il dispose - il n’invente rien - ce qu’il s’est passé, quel accident a eu lieu, quelle loi a été votée ou quelle disposition réglementaire a évolué.





La démarche entre le journaliste qui livre une information qu’il a vérifiée et confronté à la vérité et celle du copywriter qui est allé à la rencontre du produit de son client, de ses concurrents et de ses partenaires est identique. 


Seule la finalité change, sans que la pratique de l’un ne soit incompatible avec l’autre aussi longtemps que la “casquette” portée est claire.


Et si vous communiquiez autrement ?


Au journaliste l’information, au copywriter la promotion.


Vous êtes curieux de voir comment sont écrits mes messages ?

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